Solomon Burke, Cry to me
When your baby leaves you all alone
And nobody calls you on the phone
Don't you feel like crying?
Don't you feel like crying?
Well, here I am, my honey
C'mon, cry to me
When you're all alone in your lonely room
And there's nothing but the smell of her perfume
Don't you feel like crying?
Don't you feel like crying?
Don't you feel like crying?
C'mon, c'mon, cry to me
Whoa, nothing can be sadder than a glass of wine alone
Loneliness, loneliness, such a waste of time, whoa yeah
You don't ever have walk alone, you see
Come take my hand, and baby, won't you walk with me?
Whoa yeah
When you're waiting for a voice to come
In the night but there's no one
Don't you feel like crying? (Cry to me)
don't you feel like crying? (Cry to me)
Don't you feel like cr-cr-cr-cr-cr-cr-cry (Cry to me)
cr-cr-cr-cr-cr-cr-crying? (Cry to me)
Don't you feel like cr-cr-cr-cr-cr-cr-cry (Cry to me)
cr-cr-cr-cr-cr-cr-crying?
Pleure sur mon épaule
Quand ton bébé te laisse tout seul
Et que personne ne te passe de coup de fil
Oh, n'as-tu pas envie de pleurer ?
N' as-tu pas envie de pleurer ?
Oh, viens et pleure sur mon épaule
Quand tu te retrouves tout seul dans cette chambre vide
Et qu'il n'y a rien à part l'odeur de son parfum
Oh n' as-tu pas envie de pleurer ?
N' as-tu pas envie de pleurer ?
Oh n' as tu pas envie de pleurer ?
Oh, viens et pleure sur mon épaule
Rien ne pourrait être plus triste
Qu'un verre de vin, tout seul
La solitude, la solitude, c est une perte de temps
Tu n' auras plus à marcher seul, tu vois
Oh viens à moi, prends ma main et pourquoi ne marcherais-tu pas avec moi
Lorsque tu entends qu'une voix t'interpelle
La nuit et qu' il n y a personne autour de toi
Ah n' as-tu pas envie de pleurer ?
Pas envie de pleurer ?
Oh n' as tu pas envie de pleu-pleu-pleur-pleu-pleu-pleur-pleur
Pleur-pleu-pleu-pleur pleurer ? (viens pleurer sur mon épaule)
Oh n' as tu pas envie de pleur-pleu-pleur-pleu-pleur-pleur
Pleur-pleu-pleur-pleur pleurer ?
Cry to Me est une chanson écrite par Bert Berns, dont la première version a été enregistrée en 1962 par Solomon Burke. Elle a été reprise par les Rolling Stones en 1965 sur leur album Out of Our Heads.
Solomon Burke n'est pas mort sur scène mais pas loin. Il venait d'atterrir à l'aéroport d'Amsterdam, où il se rendait pour donner un concert au Paradiso, le bien nommé, mardi soir en compagnie d'un groupe local. Le monumental (158 kilos) créateur d'Everybody needs somebody to love s'était remis à arpenter les théâtres du monde entier depuis qu'une poignée d'admirateurs, Joe Henry, Elvis Costello et Tom Waits en tête, avaient orchestré son retour de flamme en 2002 sur le magnifique album Don't give up on me, et rien ne semblait devoir l'arrêter. Entrepreneur dans les pompes funèbres, « vendeur épique » selon un de ses anciens producteurs, père de 21 enfants (89 petits enfants au dernier recensement), évêque de sa propre église dans les quartiers Sud de Los Angeles, Solomon Burke aura de tout temps rivalisé avec James Brown pour le titre du « Hardest Working Man in show business » [le plus gros bosseur du showbiz]. Ça n'est pas la seule couronne qu'il lui disputait. Alors que James Brown portait fièrement le blason de « Godfather of soul », Solomon Burke s'arrangeait très bien de celui de « Roi du rock et de la soul » que lui avait décerné un DJ au début des années 60. Il montait rarement sur scène sans sa couronne, son sceptre et sa cape doublée d'hermine. L'âge venant, son poids augmentant dans d'inquiétantes proportions, il s'était même fait installer un trône et donnait, assis, des prestations aussi renversantes que ses électriques apparitions des années 60. Modeste, Solomon Burke, qui se faisait appeler « le roi Solomon » disait : « Nous sommes tous des rois ».
Pour fêter leurs récentes retrouvailles, les membres de Led Zeppelin s'étaient offert le plus beau des cadeaux en l'invitant à donner un concert privé à leur descente de scène. De Jagger à Dylan, le chanteur de Cry to me était une idole pour tous les musiciens qui ont grandi dans l'adoration du rhythm and blues et de la soul des années 50 et 60. Et sa légende, il n'a laissé à personne le soin de l'écrire pour lui. Solomon Burke était un conteur d'exception, un prêcheur né, un bonimenteur sans rival, et rien ne l'excitait autant que de réarranger pour son auditoire les motifs d'une biographie hors norme. « C'est le plus merveilleux des fabulateurs, a dit un jour son producteur Jerry Wexler. Il a raconté tellement de versions différentes des mêmes histoires qu'elles en deviennent surnaturelles. » Si l'on s'en tient à ses récits, qui avaient souvent l'ampleur d'une épopée biblique, Solomon Burke n'était pas loin d'être aussi attendu que le Christ quand il a vu le jour dans les quartiers noirs de Philadelphie en 1940. Sa grand-mère avait déjà fondé l'église qu'il a dirigé jusqu'à sa mort : le Temple de Solomon, « la maison de Dieu pour tous ». Il n'était pas encore à l'école primaire qu'il en était déjà le pilier. A 7 ans, il prononçait son premier sermon. A 9 ans, son éloquence, son charme, sa capacité à retourner une salle lui valaient le surnom de Wonder Boy Preacher [« le prodigieux prédicateur »], et, à 12 ans, il prenait la route, sillonnant les états du Sud, avec sa tente, pour recruter de nouveaux fidèles.
Comme la majorité des chanteurs noirs, de Ray Charles à Aretha Franklin, qui allaient bouleverser le paysage de la musique populaire américaine, Solomon Burke a découvert le philtre de sa voix de miel sur les bancs de l'église. Il a très vite appris à mêler les douces harmonies des chants sacrés à la puissance de feu et au charisme des prédicateurs survoltés, Father Divine ou Sweet Daddy Grace, dont il était un fervent admirateur. A l'image de Sam Cooke, dont les « chaleureuses » prestations mettaient sens dessus-dessous le bon public de la messe (les femmes en particulier), Solomon Burke s'est forgé, à la fin des années 50, une réputation de « performer » en maniant avec doigté un répertoire sacré qu'il truffait de sous-entendus très « profanes ». Solomon Burke était un émissaire du ciel que les commerces terrestres ne rebutaient pas. L'Apollo de Harlem, où il fit ses premières armes de chanteur de charme, se souvient encore qu'il fut le premier artiste (et sans doute le dernier) à fabriquer lui-même son propre pop corn et à le vendre à l'entrée de la salle avec ses côtelettes grillées et son soda maison, histoire d'arrondir le cachet.
Très engagé sur tous les fronts, de la foi, de la musique, du sexe et du commerce, Solomon Burke était un chanteur d'une immense versatilité. Sa voix, d'une ampleur et d'une souplesse infinies, abordait sur un même pied tous les registres, au point qu'il se retrouva un jour l'invité surprise d'une réunion du Ku Klux Klan, qui l'avait pris pour un chanteur blanc de country & western (il en chanta d'ailleurs avec bonheur). Pendant longtemps, il ne lui a manqué qu'un producteur à la hauteur. Sa carrière ne décollant pas, il raconte avoir terminé les années 50 dans le ruisseau, clochard zonant dans les bas quartiers de Philadelphie. Par bonheur, les Disques Atlantic, qui avaient lancé la carrière de Ray Charles, ne l'ont pas manqué et ont très vite mis en scène son talent pour les variations de ton en lui faisant enregistrer Cry to me, écrite par Bert Berns, à qui l'on doit Twist & Shout ou Piece of my heart. Sublime complainte qui passe de la caresse aux larmes, Cry to me a mené Solomon Burke vers des sommets dont il n'est pas redescendu pendant quelques années. De 1961 à 1964, rien ne lui résistait, et ses disques d'or permirent à Atlantic de prospérer. C'était l'âge d'or de la soul, et Solomon Burke en fut un roi incontesté, même s'il n'eut jamais le succès de certains de ses rivaux, comme Otis Redding ou James Brown. Le reflux venu, on aurait pu le perdre à jamais, mais Hollywood organisa un premier revival en donnant de grands rôles à ses chansons, Everybody needs somebody to love dans les Blues Brothers, Cry to me dans Dirty Dancing. Des musiciens de goût firent le reste en lui offrant la fin qu'il méritait. Pas au sommet, mais pas loin.
source : https://www.telerama.fr/musique/jusqu-au-bout-le-roi-solomon,61211.php
Solomon Burke (né le 21/03/1940, Philadelphie) est un chanteur et compositeur américain, co-fondateur avec Ray Charles et Sam Cooke du courant "Soul".
Il a inspiré des générations d’artistes, d’Otis Redding à Tom Jones, de Van Morrison aux Rolling Stones.
Prédicateur dès l'âge de sept ans dans l'église fondée par sa grand-mère ("Solomon's Temple"), Solomon Burke s'illustre tout d'abord comme chanteur de Gospel.
Ses prédications exaltées sont diffusées à la radio et le font remarquer par le label Apollo, qui produira ses premiers disques, de 1955 à 1957.
Mais il ne se cantonne pas longtemps au gospel "académique", et son titre "Cry To Me" (1962, Atlantic) annonce la musique Soul, en mêlant gospel et Rytm & Blues.
De 1962 à 1965, le label Atlantic produit ses plus grands succès: "l'm Hanging Up My Heart for You" "Down in the Valley", "If You Need Me", "How many times", "Goodbye Baby (Baby Goodbye)", le célèbre "Everybody needs somebody to love", et "Got To Get You Off My Mind".
La chanson "Got to Get You Off My Mind" vaut d'ailleurs à Solomon Burke son titre de "King of Rock & Soul".
Après une période de repositionnement dans les années 1970, Burke devient dans les années 1980-90 le représentant du courant soul originel, révéré par les puristes et dans la communauté afro-américaine.
Solomon Burke façonne aussi à cette période son image de "Roi de la Soul", avec un style vestimentaire extravagant (manteau rouge bordé d'hermine, couronne, sceptre, etc.).
En 2001, il entre officiellement au "Rock and Roll Hall of Fame", institution répertoriant les plus grands artistes du rock and roll.
En 2002, Solomon Burke renoue avec le succès des années 1960 avec son album "Don't Give Up on Me", qui obtient même un Grammy award. A noter la participation d'auteurs non moins prestigieux que Bob Dylan, Elvis Costello, Tom Waits, Van Morrison, ou Nick Lowe.
En septembre 2006, l'album "Nashville", écrit par Bruce Springsteen, Dolly Parton, Gillian Welch et Patty Griffin, est l'heureuse union entre la musique country et le cachet soul de Solomon.
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Né en 1940 selon ses dires – certaines autres dates ont longtemps circulé - à Philadelphie d’une mère prédicatrice, Solomon Burke a vécu une bonne partie de son enfance à l’étage d’une église. Son éducation fut faite au son de la musique et des prêches du rez-de-chaussée. Burke lui-même a été prédicateur… dès l’âge de 7 ou 9 ans, selon le livre de référence de l’historien de la musique Peter Guralnick, «Sweet soul music». Il était alors connu comme le «Wonder Boy Preacher» et sillonnant les routes pour, déjà, rependre la bonne parole. Solomon Burke avait enregistré du gospel dans la seconde moitié des années 1950 avant de connaître le succès au début de la décennie suivante avec des titres plus soul, comme «Just out of reach» (1961), «Cry to me» (1962), «You Can Make It if You Try» (1963) ou «Everybody needs somebody to love» (1964). Avec ce dernier tube, il reçoit le surnom de «King of rock and soul» de la part d’un dj de radio, titre qu’il adoptera consciencieusement, se parant de tous les effets d’un monarque. Solomon Burke, personnage massif, chantait sur un trône, sceptre à la main et couronne sur la tête.
Un conteur aux milles histoires
Avec «Everybody Needs Somebody to Love», il a produit aussi son plus grand tube. Le chanson, hymne à l’amour joyeux et génial sera repris par les Rolling Stones, Wilson Pickett et bien sur les Blues Brothers qui l’ont définitivement installé comme un standard pour de plus jeunes générations. S’il n’a pas connu la même notoriété que les autres figurent de la famille royale de la soul, le prince Marvin Gaye ou le parrain James Brown, Solomon Burke est une figure unanimement respecté et surtout très aimée. Le co-fondateur d'Atlantic Records et légendaire producteur de l'histoire du rhythm and blues, Jerry Wexler, a un jour qualifié Solomon Burke de «meilleur chanteur soul de tous les temps». «La musique populaire ne serait pas où elle en est aujourd'hui sans Solomon Burke», a pour sa part estimé Andy Kaulkin, le président d'Anti-Records, label de l'album «Don't Give Up On Me», qui aura valu à Solomon Burke de recevoir en 2002, le seul Grammy Award de sa carrière.
Sa carrière avait connu un regain d’intérêt dans les années 1980 grâce au film des «Blues Bothers», ainsi qu’à «Dirty Dancing», dans lequel on entend «Cry to me». Grâce également au Rolling Stone qui l’avaient emmené en tournée, dans les années 2000. Homme de scène épais, colosse charismatique à la voix corpulente, Solomon Burke était un personnage entier. Un type joyeux qui menait en parallèle des charts une carrière d’entrepreneur dans les pompes funèbres. Conteur de talent, selon tous ceux qui ont croisé sa route, il hypnotisait son auditoire avec ses aventures : comment il avait finit les années 1950, comme un clochard ; comment il avait été engagé par erreur pour chanter pour le Ku Klux Klan, parvenant selon lui à conquérir le public et faire trois rappels. Ou comment, en tournée, il est devenu vendeur de sandwich au porc et de pop-corn, pour mettre du beurre dans les épinards, mais aussi parce que des blancs ne voulaient par leur vendre à manger.
Dans sa musique, Solomon Burke a su magistralement jouer sur deux registres, apparemment opposé : celui de l’église – au point qu’il chanta pour le pape en l’an 2000 – et celui des plaisirs de la vie et de l’amour. «J'aime les belles femmes, et je ne vais pas dire le contraire», disait-il dans une interview en 2002, rapporté par le "New York Times". «Sam Cooke chantait dans les églises en même temps que moi, mais quand il chantait des chants sacrés, les jeunes filles pensaient: ‘Seigneur, Jésus, si seulement je pouvais être avec ce Sam Cooke. Brother Sam, venez et priez pour moi un moment!’ Et tout ce qui se passait dans la chambre, c'est l’histoire de la vie». Solomon Burke a été marié au moins trois fois. Il était le père de 21 enfants, et comptait 90 petits-enfants et 19 arrière-petits-enfants. «Je me suis perdu sur l'un des versets de la Bible qui dit: ‘Soyez féconds et multipliez’», disait-il. «Je n'ai pas lu plus loin». Solomon Burke aimait chanter l’amour et n’a jamais cessé d’aimer ça. Il avait publié en avril son dernier album, «Nothing's impossible», et passé beaucoup de temps en tournée. Et comme sa famille l’explique dans son communiqué, lorsqu’il a disparu, «il était en chemin pour rependre son message d’amour, comme il adorait le faire».
Dans Dirty dancing, la chanson "Cry to Me" est chantée tard dans la scène où Baby Houseman vient à la cabane de Johnny Castle. Quand elle arrive, Johnny est seul et joue la chanson d’Otis Redding These Arms of Mine sur son tourne-disque. Dans les paroles de cette chanson, un homme est seul et pense à embrasser une femme, nommée Baby, qu’il désire :
Ces bras sont les miens,
Ils sont seuls,
Seul et déprimé.
Ces armes sont les miens,
Ils ont le désir,
J’ai envie de te voir.
Et si tu les laissais te tenir,
Oh, comme je serais reconnaissant.
Ces armes sont les miens,
Ils sont en train de brûler,
Ça brûle de te vouloir.
Ces armes sont les miens,
Ils sont en manque,
Je veux te tenir.
Allez, allez, Bébé,
Sois juste ma petite femme.
Sois juste mon amante."
La chanson continue d’être entendue en arrière-plan alors que Baby essaie d’expliquer à Johnny qu’il ne devrait pas s'inquiéter de la colère de son père à propos de l’avortement de sa petite amie. La conversation sur la colère de son père est terminée, puis Bébé demande à Johnny de danser. A ce moment, le prochain disque tombe et commence à jouer la chanson "Cry to Me" de Solomon Burke. Bébé et Johnny dansent sur la chanson avec une sexualité grandissante.
Dans cette deuxième chanson aussi, un homme est seul et pense à une femme, nommée Baby, qu’il désire. Il imagine que la femme aussi est seule - si seule qu’elle pleure. Il imagine qu’ils vont se réunir et simplement se promener.
"Quand ton bébé te laisse tout seul
Et personne ne t’appelle au téléphone,
Tu n’as pas envie de pleurer ?
Je suis là, ma chérie.
Allez, bébé, pleure pour moi.
Quand tu es seul dans ta chambre solitaire
Et il n’y a que l’odeur de son parfum
Tu n’as pas envie de pleurer ?
Rien n’est plus triste qu’un verre de vin.
La solitude, c’est une perte de temps.
Mais tu n’as jamais à marcher seul.
Viens prendre ma main, bébé, tu veux pas marcher avec moi ?"
En fait, les paroles ne sont pas claires quant à savoir si l’homme ou la femme est la personne seule. Peut-être que l’homme qui chante n’est pas seul, mais il comprend que la femme est seule, et c’est pourquoi il l’invite à venir à lui. Je ne pense pas que la chanson fonctionne bien quand elle est chantée par une femme, parce que les hommes ne sont pas censés pleurer. Cependant, je pense qu’un duo homme-femme fonctionne, parce qu’alors ils pleurent tous les deux.
Bien que Johnny se trouvait seul dans sa cabine, il n’était généralement pas seul. Johnny avait été à la station tout l’été et avait de nombreux amis -- Billy Kostecki, Penny Johnson, ses autres collègues danseurs et employés d’hôtel et ses différents "lapins de bungalow". Johnny enseignait la danse aux invités et planifiait des danses pour le spectacle de talent. Johnny connaissait aussi des gens dans d’autres hôtels à proximité, comme le Sheldrake.
La personne seule dans cette scène est Baby. Elle est essentiellement une solitaire, un rat de bibliothèque. Elle est à la station balnéaire depuis seulement quelques semaines. Elle ne veut pas passer de temps avec ses parents ou sa sœur. Apparemment, elle ne fréquente pas d’autres invités. Les employés de la station ne sont pas censés socialiser avec elle. Neil Kellerman est capable et disposé à socialiser avec elle, mais elle l’évite
Parce que Johnny n’est pas seul, il ne va pas rendre visite à Baby. Plutôt, parce que Baby est seule, elle va rendre visite à Johnny sans être invitée. Il n’est pas certain qu’elle lui ait manqué ou qu’il voulait qu’elle lui rende visite, surtout après avoir été insulté par son père. Ensuite Bébé passe sa première nuit dans le lit de Johnny..
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